Du 20 au 24 octobre avait lieu la 13e édition de la semaine du secteur bruxellois de l’aide aux sans-abri organisée par la Fédération des maisons d’accueil et des services d’aide aux sans-abri (AMA). L’occasion enrichissante d’ouvrir ses portes et d’aller voir dans d’autres services ce qui s’y fait. L’occasion aussi de s’ouvrir à un autre secteur. C’est celui l’aide aux justiciables qui a été choisi cette année.
Le public des sans-abri est multiple et varié, et il est souvent amené à rencontrer d’autres secteurs. C’est pourquoi la semaine de l’aide au sans-abri s’ouvre à d’autres thématiques: CPAS, aide aux toxicomanes… C’est l’aide aux justiciable qui a été choisi cette année. Auteurs ou victimes de faits, les bénéficiaires de l’aide aux sans-abri ont souvent affaire à la justice. «Finalement, qu’est-ce que notre secteur peut offrir à une victime de violence conjugale, un sortant de prison, ou quelqu’un qui porte un bracelet électronique…? Est-ce que c’est notre mission, dans l’objectif de tendre à l’autonomisation des personnes, de les accueillir?», se demande Christine Vanhessen, directrice de l'AMA. De l’autre côté, le secteur de l’aide aux justiciables est amené à réfléchir à des solutions d’hébergement pour ses bénéficiaires.
La journée d’étude «Sans-abri, justiciables: au-delà des étiquettes» a permis de rappeler combien le logement est primordial dans la réinsertion de ...
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Du 20 au 24 octobre avait lieu la 13e édition de la semaine du secteur bruxellois de l’aide aux sans-abri organisée par la Fédération des maisons d’accueil et des services d’aide aux sans-abri (AMA). L’occasion enrichissante d’ouvrir ses portes et d’aller voir dans d’autres services ce qui s’y fait. L’occasion aussi de s’ouvrir à un autre secteur. C’est celui l’aide aux justiciables qui a été choisi cette année.
Le public des sans-abri est multiple et varié, et il est souvent amené à rencontrer d’autres secteurs. C’est pourquoi la semaine de l’aide au sans-abri s’ouvre à d’autres thématiques: CPAS, aide aux toxicomanes… C’est l’aide aux justiciable qui a été choisi cette année. Auteurs ou victimes de faits, les bénéficiaires de l’aide aux sans-abri ont souvent affaire à la justice. «Finalement, qu’est-ce que notre secteur peut offrir à une victime de violence conjugale, un sortant de prison, ou quelqu’un qui porte un bracelet électronique…? Est-ce que c’est notre mission, dans l’objectif de tendre à l’autonomisation des personnes, de les accueillir?», se demande Christine Vanhessen, directrice de l'AMA. De l’autre côté, le secteur de l’aide aux justiciables est amené à réfléchir à des solutions d’hébergement pour ses bénéficiaires.
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