Endométriose: quand l’intime devient politique
En Belgique, l’endométriose toucherait au moins 10% des femmes. Malgré son caractère étendu, cette maladie gynécologique demeure mal comprise et sous-diagnostiquée. À Liège et à Bruxelles, des cliniques spécialisées proposent des soins multidisciplinaires s’adaptant à chaque patiente. Les approches médicales varient cependant fortement d’un hôpital à l’autre selon un rapport. Depuis cinq ans, l’asbl Toi Mon Endo œuvre pour une meilleure reconnaissance et prise en charge de cette pathologie.
Pour se «déconstruire», les hommes doivent-ils être brusqués ?
De plus en plus d’hommes se déclarent prêts à changer leurs comportements pour devenir des alliés féministes. Oui, mais comment ? Les avis divergent.
La «masculinité sacrée», caricature ou chemin d’émancipation ?
Devenir un « nouveau guerrier» , fier et responsable, en deux jours de week-end intensif. C’est la promesse faite par le ManKind Project (MKP) à ceux qui veulent redonner du sens à leur existence d’homme. J’ai tenté l’expérience.
Bagarreurs, indisciplinés, à risque ? Outre-Manche, le fatalisme sur les garçons et les hommes est passé de mode
« Boys will be boys» . L’expression anglaise renvoie à l’inclinaison des mâles pour la bagarre. Elle témoigne d’un fatalisme bien ancré: décrochage scolaire, violence et comportements à risques semblent parfois tenus pour des faits masculins naturels. Pourtant, depuis quelques années, l’idée qu’il faut « prendre au sérieux» les problèmes des garçons et des hommes progresse Outre-Manche.
Dans le mâlegorithme
Les contenus testostéronés pullulent sur les réseaux. Être un homme, selon les standards de Tik Tok, se mesure à la taille des pectos et du compte en banque. Parfois, aussi, au contrôle exercé sur les femmes. Combien de likes faut-il à un jeune Belge pour être plongé dans la manosphère ? Peu.
Être un homme, mode(s) d’emploi
Dans une série d’articles signés par Eric Walravens, nous vous proposons un parcours en quatre étapes à travers différents lieux où la masculinité contemporaine est en travail, depuis les recoins obscurs de Tik Tok jusqu’au fond des Ardennes pour un stage de « masculinité sacrée» .
Être un homme, mode(s) d’emploi
Comment être un homme aujourd’hui ? A l’ère post-Me Too, certains font le choix de devenir des «alliés» féministes avec plus ou moins d’ardeur militante. D’autres, au contraire, reviennent aux valeurs patriarcales les plus rétrogrades, comme en témoigne la vague masculiniste sur les réseaux sociaux, qui déborde dans les attitudes des garçons à l’école. De la manosphère aux groupes de paroles d’hommes en déconstruction, en passant par un stage de «masculinité sacrée», on a exploré les lieux où les hommes se cherchent.
Entre visibilisation et stigmatisation
Les publics aidés par l’équipe mobile du Solimob sont généralement isolés – ce qui va de pair avec la typologie de l’arrondissement Huy-Waremme. En zones rurales, les services sont moins facilement accessibles; la communication autour d’une nouvelle initiative est [...]
Au fond du parc
Après avoir péniblement descendu la route, ou plutôt le chemin de gravier, qui mène dans un nuage de poussière à un parc résidentiel, Norine Grenier gare le mobil-home sous les arbres au même emplacement qu’il y a deux semaines. [...]
Dans le mobil-home
Passer la porte du mobil-home «Solimob» revient à entrer dans la salle à manger d’un ami ou d’une amie et dans un espace de consultation Evras. L’ami, parce que la cuisine contient dans ses tiroirs des gaufres Suzy et [...]
Introduire au CPAS
Vu les coupes budgétaires voulues par le gouvernement wallon MR-Engagés dans les initiatives sociales, la cellule d’intervention mobile «Solimob» cessera très vraisemblablement d’exister dès le mois de décembre. Ce projet psychosocial en cours de déploiement dans l’arrondissement de Huy-Waremme a perdu son financement public moins d’un an après son lancement officiel en mars 2025. Solimob avait pourtant été conçu sur mesure pour une région à caractère rural et en mal d’aide sociale. Le projet gagnait petit à petit la confiance de ses bénéficiaires.
L’accompagnement mobile «Solimob»: déjà sur le départ
Vu les coupes budgétaires voulues par le gouvernement wallon MR- Les Engagés dans les initiatives sociales, la cellule d’intervention mobile «Solimob» cessera très vraisemblablement d’exister dès le mois de décembre. Ce projet psychosocial en cours de déploiement dans l’arrondissement de Huy-Waremme a perdu son financement public moins d’un an après son lancement officiel en mars 2025. Solimob avait pourtant été conçu sur mesure pour une région à caractère rural et en mal d’aide sociale. Le projet gagnait petit à petit la confiance de ses bénéficiaires.
