À Budapest, vivre sans toit,
c’est défier la loi
Restriction des hébergements d’urgence, suppression des aides au logement, interdiction de dormir dehors… En Hongrie, plus de 5.000 personnes vivent dans la rue chaque soir. Face à cet abandon du gouvernement, l’association des avocats de rue «Utcajogász» combat cette injustice en leur offrant une assistance juridique en matière de logement.
Endométriose : quand l’intime devient politique
En Belgique, l’endométriose toucherait au moins 10% des femmes. Malgré son caractère étendu, cette maladie gynécologique demeure mal comprise et sous-diagnostiquée. À Liège et à Bruxelles, des cliniques spécialisées proposent des soins multidisciplinaires s’adaptant à chaque patiente. Les approches [...]
Un livre et des soins
La biographie hospitalière, nouveau soin palliatif, consiste dans le recueil et l’écriture du récit d’une personne en fin de vie. Consigner son existence dans un ouvrage pour l’offrir au patient et à sa famille. Préserver des souvenirs qui se transmettront à travers les générations.
Née en France, la pratique s’élève lentement mais sûrement vers la reconnaissance. En Belgique, elle n’en est encore qu’à ses débuts.
Rencontre avec les biographes, dites « passeuses », qui se battent pour faire vivre et (re)connaître la biographie hospitalière chez nous.
Un lent et long chemin de reconnaissance
La biographie hospitalière, nouveau soin palliatif, consiste dans le recueil et l’écriture du récit d’une personne en fin de vie. Consigner son existence dans un ouvrage pour l’offrir au patient et à sa famille. Préserver des souvenirs qui se transmettront à travers les générations.
Née en France, la pratique s’élève lentement mais sûrement vers la reconnaissance. En Belgique, elle n’en est encore qu’à ses débuts.
Rencontre avec les biographes, dites « passeuses », qui se battent pour faire vivre et (re)connaître la biographie hospitalière chez nous.
« Un solide goût de trop peu »
La biographie hospitalière, nouveau soin palliatif, consiste dans le recueil et l’écriture du récit d’une personne en fin de vie. Consigner son existence dans un ouvrage pour l’offrir au patient et à sa famille. Préserver des souvenirs qui se transmettront à travers les générations.
Née en France, la pratique s’élève lentement mais sûrement vers la reconnaissance. En Belgique, elle n’en est encore qu’à ses débuts.
Rencontre avec les biographes, dites « passeuses », qui se battent pour faire vivre et (re)connaître la biographie hospitalière chez nous.
Soigner par le récit
La biographie hospitalière, nouveau soin palliatif, consiste dans le recueil et l’écriture du récit d’une personne en fin de vie. Consigner son existence dans un ouvrage pour l’offrir au patient et à sa famille. Préserver des souvenirs qui se transmettront à travers les générations.
Née en France, la pratique s’élève lentement mais sûrement vers la reconnaissance. En Belgique, elle n’en est encore qu’à ses débuts.
Rencontre avec les biographes, dites « passeuses », qui se battent pour faire vivre et (re)connaître la biographie hospitalière chez nous.
Passeurs de mots : transmettre des histoires
La biographie hospitalière, nouveau soin palliatif, consiste dans le recueil et l’écriture du récit d’une personne en fin de vie. Consigner son existence dans un ouvrage pour l’offrir au patient et à sa famille. Préserver des souvenirs qui se transmettront à travers les générations.
Née en France, la pratique s’élève lentement mais sûrement vers la reconnaissance. En Belgique, elle n’en est encore qu’à ses débuts.
Rencontre avec les biographes, dites « passeuses », qui se battent pour faire vivre et (re)connaître la biographie hospitalière chez nous.
Un livre et des soins
La biographie hospitalière, nouveau soin palliatif, consiste dans le recueil et l’écriture du récit d’une personne en fin de vie. Consigner son existence dans un ouvrage pour l’offrir au patient et à sa famille. Préserver des souvenirs qui se transmettront à travers les générations.
Née en France, la pratique s’élève lentement mais sûrement vers la reconnaissance. En Belgique, elle n’en est encore qu’à ses débuts.
Rencontre avec les biographes, dites « passeuses », qui se battent pour faire vivre et (re)connaître la biographie hospitalière chez nous.
Vestige d’une médecine patriarcale
En Belgique, l’endométriose toucherait au moins 10% des femmes. Malgré son caractère étendu, cette maladie gynécologique demeure mal comprise et sous-diagnostiquée. À Liège et à Bruxelles, des cliniques spécialisées proposent des soins multidisciplinaires s’adaptant à chaque patiente. Les approches médicales varient cependant fortement d’un hôpital à l’autre selon un rapport. Depuis cinq ans, l’asbl Toi Mon Endo œuvre pour une meilleure reconnaissance et prise en charge de cette pathologie.
Apprendre à vivre avec
En Belgique, l’endométriose toucherait au moins 10% des femmes. Malgré son caractère étendu, cette maladie gynécologique demeure mal comprise et sous-diagnostiquée. À Liège et à Bruxelles, des cliniques spécialisées proposent des soins multidisciplinaires s’adaptant à chaque patiente. Les approches médicales varient cependant fortement d’un hôpital à l’autre selon un rapport. Depuis cinq ans, l’asbl Toi Mon Endo œuvre pour une meilleure reconnaissance et prise en charge de cette pathologie.
Remettre la patiente au centre
En Belgique, l’endométriose toucherait au moins 10% des femmes. Malgré son caractère étendu, cette maladie gynécologique demeure mal comprise et sous-diagnostiquée. À Liège et à Bruxelles, des cliniques spécialisées proposent des soins multidisciplinaires s’adaptant à chaque patiente. Les approches médicales varient cependant fortement d’un hôpital à l’autre selon un rapport. Depuis cinq ans, l’asbl Toi Mon Endo œuvre pour une meilleure reconnaissance et prise en charge de cette pathologie.
Sortir la maladie de l’ombre
En Belgique, l’endométriose toucherait au moins 10% des femmes. Malgré son caractère étendu, cette maladie gynécologique demeure mal comprise et sous-diagnostiquée. À Liège et à Bruxelles, des cliniques spécialisées proposent des soins multidisciplinaires s’adaptant à chaque patiente. Les approches médicales varient cependant fortement d’un hôpital à l’autre selon un rapport. Depuis cinq ans, l’asbl Toi Mon Endo œuvre pour une meilleure reconnaissance et prise en charge de cette pathologie.
