Au-delà du kicker
On compte entre 150 et 200 Maisons de Jeunes (MJ) éparpillées sur le territoire de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Inscrites dans la philosophie de l’éducation permanente, et fortes de leurs 75 ans d’histoire, ces maisons se vivent comme des lieux d’autonomie et de culture.
Alter Echos est allé voir comment la jeunesse «inorganisée» s’organisait en rase campagne. Dans la botte du Hainaut, la Maison de la petite commune de Momignies est reconnue depuis 2024, au terme d’un long travail de terrain et avant le moratoire annoncé par la Ministre de la Jeunesse Valérie Lescrenier (Les Engagés). Aujourd’hui, avec le reste de son secteur, la jeune maison s’inquiète pour son avenir.
Quand on aime, on ne compte pas
On compte entre 150 et 200 Maisons de Jeunes (MJ) éparpillées sur le territoire de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Inscrites dans la philosophie de l’éducation permanente, et fortes de leurs 75 ans d’histoire, ces maisons se vivent comme des lieux d’autonomie et de culture.
Alter Echos est allé voir comment la jeunesse «inorganisée» s’organisait en rase campagne. Dans la botte du Hainaut, la Maison de la petite commune de Momignies est reconnue depuis 2024, au terme d’un long travail de terrain et avant le moratoire annoncé par la Ministre de la Jeunesse Valérie Lescrenier (Les Engagés). Aujourd’hui, avec le reste de son secteur, la jeune maison s’inquiète pour son avenir.
Promenade dans la botte du Hainaut
On compte entre 150 et 200 Maisons de Jeunes (MJ) éparpillées sur le territoire de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Inscrites dans la philosophie de l’éducation permanente, et fortes de leurs 75 ans d’histoire, ces maisons se vivent comme des lieux d’autonomie et de culture.
Alter Echos est allé voir comment la jeunesse «inorganisée» s’organisait en rase campagne. Dans la botte du Hainaut, la Maison de la petite commune de Momignies est reconnue depuis 2024, au terme d’un long travail de terrain et avant le moratoire annoncé par la Ministre de la Jeunesse Valérie Lescrenier (Les Engagés). Aujourd’hui, avec le reste de son secteur, la jeune maison s’inquiète pour son avenir.
Maisons de Jeunes : du kicker à la politique
On compte entre 150 et 200 Maisons de Jeunes (MJ) éparpillées sur le territoire de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Inscrites dans la philosophie de l’éducation permanente, et fortes de leurs 75 ans d’histoire, ces maisons se vivent comme des lieux d’autonomie et de culture.Alter Échos est allé voir comment la jeunesse «inorganisée» s’organisait en rase campagne. Dans la botte du Hainaut, la Maison de la petite commune de Momignies est reconnue depuis 2024, au terme d’un long travail de terrain et avant le moratoire annoncé par la Ministre de la Jeunesse Valérie Lescrenier (Les Engagés). Aujourd’hui, avec le reste de son secteur, la jeune maison s’inquiète pour son avenir.
Un métier à tout fer
Les ferrailleurs, on les entend mais on ne les voit pas vraiment. Pionniers du recyclage, leur activité est salutaire pour notre société. Elle est également soumise aux aléas du marché international, qui fixe les règles du jeu.
Des soirées «stupéfiantes»:
accompagner plutôt que punir
Alors que la «guerre» contre la drogue se solde par un échec sanitaire et social, notamment dans la capitale, des acteurs de terrain défendent une autre voie, celle de la réduction des risques. Un modèle qui peine à s’imposer face à une politique répressive qui absorbe l’essentiel des financements publics.
La fête à Bruxelles :
une espèce en voie de disparition ?
Est-il compliqué de faire la fête à Bruxelles aujourd’hui? Y organiser des événements festifs est-il en passe de devenir mission impossible? Ou est-ce le contraire?
Répondre à ces questions nécessite d’analyser la politique urbaine de la capitale et la manière dont la fête y est intégrée. Ou pas…
Le sens de la kermesse
Quand il s’agit de faire la teuf, les campagnes wallonnes ne sont pas en reste. Les bals, kermesses, sans oublier les ducasses, rythment la vie de nos patelins. Prises en charge par des comités des fêtes ou leur version ardennaise, les Jeunesses de village, ces célébrations nourrissent un imaginaire teinté de souvenirs et de fantasmes dans toute la Belgique. Il s’agit pourtant d’une culture de la fête qui est peu décrite ou étudiée. Cela méritait bien un reportage.
De la crise à la rigueur:
le néolibéralisme à la belge
Entre la fin de 1981 et 1987, Wilfried Martens est à la tête de deux gouvernements de centre droit, associant les familles socio-chrétiennes et libérales (respectivement CVP/PSC et PVV/PRL, ancêtres du CD&V/Engagés et Open Vld/MR). Durant ces années Martens-Gol (du nom du Premier et du vice-Premier libéral), crise, compétitivité, et redressement deviendront les maîtres mots de la politique belge. Pour s’implanter en Belgique, le néolibéralisme n’a pas eu besoin de Dame de fer mais plutôt de bons conciliateurs.
Solayman Laqdim: «Quand l’État n’assume plus ses responsabilités,
c’est le religieux ou la délinquance
qui prend le relais»
Solayman Laqdim, délégué général aux Droits de l’enfant depuis 2023, tire la sonnette d’alarme. Entre pauvreté infantile galopante, crise de santé mentale et violences policières, il dresse un constat sans concession d’une Belgique qui abandonne ses enfants les plus vulnérables.
En Wallonie, le combat sisyphéen
des voisins des aéroports
À Liège comme à Charleroi, les riverains s’organisent contre l’extension et les nuisances des aéroports wallons, mais aussi contre ce qu’ils considèrent comme la «mauvaise foi» de la Région. Entre usure et espoir, leurs luttes locales respectives font inévitablement écho.
Sans papiers, mais pas sans droits:
la sécu autogérée qui comble
les manquements de l’État
Face à un système qui exclut plus qu’il ne protège, des personnes sans papiers ont créé leur propre caisse de solidarité. À Liège, cette sécurité sociale autogérée pallie depuis six ans les lacunes de l’aide médicale urgente (AMU). Une initiative qui révèle l’échec d’un droit théorique, mais inaccessible: jusqu’à 90% des sans-papiers renoncent à l’AMU.
