À Sambreville, le restaurant social et atelier thérapeutique « La Bavette "1 soigne la dépression et le mal-être en offrant un cadre convivial detravail à une douzaine de participants – patients. À cheval entre l’entreprise économique et sociale et l’antipsychiatrie, elle contribue à retisser lesliens sociaux perdus ou distendus autant de ses « clients » que de ses patients. La Bavette est en quelque sorte un atelier « off » de l’hôpitald’Auvelais.
Relancer le moteur
C’est en 1994 que Marie-France Bouckhuyt, éducatrice, eut cette idée originale dans la continuité de la création (1989) d’un centre de jour annexé auCHR d’Auvelais. À travers ce qu'on pourrait appeler un restaurant sans but lucratif, une douzaine de « patients » confectionnent des repas à prix démocratiquespour une « clientèle » qui y trouve les bienfaits d’une table d’hôtes conviviale. Les « patients » sont envoyés par l’hôpitald’Auvelais, un médecin traitant ou un service social, ou viennent de leur propre initiative.
Anne-Marie Dufour, psychologue et responsable du centre de jour et des ateliers du CHR, explique la fonction du p...
Archives
À Sambreville, le restaurant « La Bavette » fait office de thérapeute social
À Sambreville, le restaurant social et atelier thérapeutique « La Bavette « 1 soigne la dépression et le mal-être en offrant un cadre convivial detravail à une douzaine de participants – patients. À cheval entre l’entreprise économique et sociale et l’antipsychiatrie, elle contribue à retisser lesliens sociaux perdus ou distendus autant de ses « clients » que de ses patients. La Bavette est en quelque sorte un atelier « off » de l’hôpitald’Auvelais.
chantal
Pssstt, visiteur, visiteuse du site d'Alter Échos !
Sur le même sujet
-
Politique
«Résister au néolibéralisme, ce n’est pas plus compliqué que ce que la gauche a toujours fait»
-
Emploi/formation
Des barreaux aux bureaux
-
Vie associative
Quand politiciens et associations s’aimaient d’un amour vache
-
Secteurs (autres)
Gender budgeting, l’heure du bilan